gildas11metres

Bonjour je vais vous mettre ici quelque lien qui vous permettrons d'en savoir un peux plus sur l'iles teviec qui seras activé sur le 11 mètres par 14SD142 Rodolphe et moi meme 14SD201 Gildas 

"source wikipedia"

Sites archéologiques

De 1928 à 1934, un ensemble d'habitats et une nécropole mésolithiques ont été découverts et fouillés à Téviec par un couple d'amateurs lorrains d'archéologie, Marthe et Saint-Just Péquart. Téviec fait partie des rares sites du mésolithique subsistant en Bretagne, avec la pointe de la Torche, Hoëdic et Beg er Vil sur la presqu’île de Quiberon. À l'époque, entre 6 000 et 5 000 BP, l'îlot était dans une lagune et la Manche n'était pas encore une mer : on pouvait rejoindre la future l'Angleterre à pied. Les habitats sont placés sur des amas coquilliers ayant livré les restes de nombreux mollusques marins, de crustacés, de seiche, de poissons (labridés), d'oiseaux (dont des pingouins, des canards, des bécasses ou despygargues), des cétacés et des mammifères terrestres (sanglier, cerf, sanglier, auroch, chevreuil, chien, etc.), ainsi que des résidus de taille de silex. C'est dans ces zones de vie et de rejet des déchets coquillers que les cueilleurs-chasseurs enterraient leurs défunts. Ces coquillages ont œuvré à la conservation des sépultures, leur carbonate isolant les ossements du sol acide.

L'outillage en os et en bois de cervidés est abondant. Les vestiges lithiques mis au jour comprennent de nombreux microlithes géométriques correspondant à des armatures de projectiles (« trapèzes », « triangles scalènes larges », etc.). Ces vestiges, anciennement datés de 6 575 +/- 350 ans BP, ont fait l'objet de nouvelles datations comprises entre 6740 et 5680 BP qui indiquent une occupation plus longue que prévue et dont la fin serait contemporaine du début du Néolithique.

Téviec a livré dix sépultures dont certaines multiples, contenant au total 23 individus, adultes et enfants, certains ossements étant parfois dispersés. La présence d'une armature de silex fichée dans une vertèbre de l'un des individus atteste d'une mort violente. Les sépultures étaient souvent associées à des foyers rituels et pouvaient être recouvertes par des amas de pierre ou des dalles. Grégor Marchand, chercheur au CNRS et spécialiste des derniers pêcheurs-cueilleurs de l'an moins 6 000 avant J-C, confirme que des pointes de flèches ont été prélevées sur plusieurs squelettes ; pour lui, « En clair, on est face à une tuerie »

le fort de penthièvre et l'iles de teviec

http://www.bretagne.com/fr/layout/set/print/content/view/full/7737